Cité deux fois millénaire, la capitale de l’Aveyron, quel les Rutènes, peuple gaulois, appelaient Segodurum, « forteresse victorieuse » imprègne dès l’abord l’esprit du visiteur par sa cathédrale gothique Notre Dame de Rodez et son superbe clocher en dentelle de grès rouge, haut de 87 mètres. .
Achevée au début du XVIe siècle, elle domine toute l‘agglomération et notamment les petites rues piétonnes du centre historique.
Place de la Cité, rue de Bonald, rue Neuve, place du Bourg, place Foch, autant de lieu à visiter qui offrent la découverte de belles demeures Renaissance et de splendides hôtels particuliers (maison dite d'Armagnac, maison de l'Annonciation, hôtel Delauro, hôtel d'Adhémar, hôtel de Bonald,
Rodez, Ce sont aussi deux musées de qualité, le musée Denys Puech du nom du sculpteur aveyronnais et le musée Fenaille qui abrite une collection unique en Europe de statues menhirs.
Et puis depuis le printemps 2014, Rodez compte un autre musée, très attendu, le musée Pierre Soulages, enfant du pays, peintre de renom.
Le Musée Pierre Soulages accueille 21 de ses peintures sur toile, 100 peintures sur papier, la totalité de son œuvre gravé, la totalité des travaux préparatoires aux vitraux de l'abbatiale de Conques, et bien d'autres trésors dont l'artiste a fait don à la ville.
Rodez, c’est également une animation reconnue comme le Festival occitan de référence, l’Estivada.
Un Festival qui a lieu chaque dernière semaine de juillet et rassemble 60 000 participants, 400 artistes, 60 spectacles gratuits, 3 nationalités, 8 régions, 30 départements.
Enfin, on ne saurait parler de Rodez sans citer son haras national, l’un des plus beaux de France, situé depuis 1809 dans un ancien couvent de chartreux des XVIe et XVIIe siècles.
Ses bâtiments classés Monuments historiques accueillent des étalons de différentes races (pur-sang arabe, anglo-arabe, selle français, traits Comtois et Bretons), ainsi que de nombreuses installations dédiées au cheval.
