Avec 53 407 curistes en 2018, Balaruc-les-Bains n'a pas battu son record de 2017 (53 835) mais reste tout de même au sommet du podium des villes thermales de France.
Pour 2019, il y a déjà 37 660 réservations et la direction annonce toujours un taux supérieur à 95 % sur la satisfaction globale de la cure.
Implanté au bord de la Méditerranée sur un site exceptionnel de la presqu'île de Balaruc-les-Bains, face à l'étang de Thau et au Mont Saint-Clair de Sète, une destination idéale pour une cure thermale en Rhumatologie et Phlébologie source de multiples énergies.
Car les soins prodigués sont à base de l’eau thermale de Balaruc-les-Bains, reconnue pour ses vertus antalgiques, décontractantes et anti-inflammatoires, une des plus chaudes et minéralisées d’Occitanie.
Premier employeur du bassin de Thau, la société génère plus de 1000 emplois directs et 2000 induits, ainsi que des retombées économiques importantes sur le territoire.
Dédiés au thermalisme moderne, les nouveaux thermes de Balaruc-les-Bains répondent aux nouvelles exigences et aux nouveaux défis en matière de santé publique, en mettant au cœur de leur démarche, l'évolution technologique des soins thermaux en adéquation avec l'éducation thérapeutique, l'autonomie et le confort du patient.
Un peu d’Histoire…
Les eaux de Balaruc étaient connues dans l'Antiquité.
À cette époque, Balaruc-le-Vieux était le lieu d'agriculture et Balaruc-les-Bains était déjà consacré au thermalisme.
Le nom antique de Balaruc-les-Bains était Maimona. Ce nom apparaît dans le cartulaire de Maguelone en 1130. On retrouve ce nom sur un document photographique d'une inscription sur un bloc de pierre.
Balaruc entend bien poursuivre sa diversification et en 2019 apparait une nouvelle marque de cosmétique qui met en avant le savoir-faire et le territoire.
Le spa O’Balia se développe aussi avec de nouveaux soins, en direction des sportifs avec des massages en profondeur, des soins avec des produits formulés locaux, ainsi que des soins amincissants.
http://www.balaruc-les-bains.com/