Benjamin Talon a fondé à Cahors, avec son frère jumeau, la start-up « Twinswheel » et a créé un robot autonome électrique.
Ce droïde est capable de suivre un technicien, de franchir et éviter des obstacles grâce à des capteurs 3D.
Certains droïdes peuvent porter jusqu’à 500 kilos, les plus légers seulement 40. Une fatigue épargnée pour les livreurs et de la fumée en moins pour les riverains.
Côté vitesse, ils sont bridés à 6 km/h sur les trottoirs mais peuvent filer à 12,5 km/h sur route ou les zones dénuées de piétons.
Pas de risque de collision en tous cas, car comme les voitures autonomes ils détectent chaque pas de leur accompagnateur comme de l’entourage, et gardent leur distance de sécurité.
Application à Montpellier, certains camions de livraison sont remplacés par ces droïdes autonomes
Ces robots sont garantis sans émission et ne génèrent aucun bouchon.
La Métropole a postulé pour devenir territoire pilote d’une expérimentation du ministère du Transport : le projet SAM, ou « Sécurité & Acceptabilité de la conduite et de la Mobilité autonome ».
Les robots arrivent !
La métropole devient territoire d’expérimentation du véhicule routier autonome de logistique urbaine.
Trois ans entre deux épisodes. La flotte aura 36 mois pour faire ses preuves, à savoir réduire les bouchons et améliorer notablement la qualité de l’air.
Alors d’autres grandes villes accueilleront leurs droïdes.